Présent : louis (scv), clément (un ami que louis emmène en initiation), et moi
TPST : 9h00
RDV : mercredi a 15h00 chez moi, il manque des cordes a louis donc on passe au club chercher 3 cordes, puis on va chez louis préparer tous ça. On passe prendre une bière chez vert tiges en prenant au passage des poulies tandem cable (jean marc nous a dit que la tyroliene etait en place. On passe chercher clément chez lui vers 18h. Louis a Jean Marc au téléphone et on apprend qu'il a laissé l'équipement de la main courante et du P7, ça fera un kit en moins.
On arrive, on s'équipe, on présente le matos à clément. Nous voilà parti sous terre, on arrive à la tyro louis prend les 2 kits et remonte la tyro pendant que je passe avec clément dans la faille. Nous continuons notre progression et après avoir appris a clément a utiliser le descendeur, on arrive bien vite a la salle des dunes ou nous mangeons (ça va vite quand c'est déjà équipé). Notre repas avalé nous partons pour le premier P20 mais en route nous passons au dessus d'un trou où nous apercevons des accus, c'est étroit, louis hésite, mais finit par se glisser dedans, nous l'aiderons à ressortir en le tirant. Bilan des courses, il remonte un sac plastique plein, des accus et une bite de carbure, et il reste encore. On laisse ça la et continuons vers le fond, nous descendons le P20 et en bas nous mettons un peu de temps à trouver le boyau, on n'est pas sûr mais j'y vais le premier et à la vue des broches je crie que c'est tous bon. Louis continue et l'équipement et nous le suivons. Arrivés en bas de ce deuxieme puits nous continuons et arrivons dans le méandre. Louis progresse nettement plus vite que moi et clément. Nous nous longeons sur la corde présente en fixe mais rapidement nous décidons de nous delonger, plusieurs tonches importante sont relevés. Nous surnomerons ce méandre le méandre sans fin :). Arrivé au lac, un équipement est en fixe, main courante sur un seul point, c
quasiment aucun point, nous sommes septiques. Louis y va, l'équipement est merdique, il fini par descendre au dessus du lac et remonter, je fais de même, dans la galère sur la main courante ma couverture de survie tombe dans le lac (elle y est toujours, impossible d'y allez sans de gros frottements ou de nager, il faudra y retourner avec une canne a pêche elle flotte et est bien bloqué contre un caillou). au retour nous nous rendons compte qu'ici aussi une corde de l'équipement fixe est tonché, clément ne descendra pas, une conversion est indispensable, et l'idée de le faire descendre jusqu'à un noeud et de la remonter avec une poulie et un bloqueur est vite abandonnée, au vu de l'équipement on se tire d'ici en vitesse. Retour dans le méandre, remontée des puits, je fais un peu moins le malin, j'ai prêté mes chaussons néo et ne suis pas en bottes je commence à avoir froid et pis je crois qu'un an sans trop bouger a diminué ma POWER. Nous remontons donc les jusqu'au trou où Louis a remonté de la merde, décision est prise de tout laisser là et de prévenir Jean Marc qui doit y aller bientôt car nos kit sont blindés, nous remontons tout de même 2 bites de carbure ( qui naturement ce revèlerons remplis de chaux mais on a gagné de la chambre a air). Sortie du trou a 4h15, le jour ce lève, on fonce se coucher. nous passerons une bonne partie de l'aprem le lendemain au bastion à tout laver et ranger le matos.
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Gael
Présents : Dom, Olivier.
Perte du coté de PUGEY que Dom a déniché le week-end dernier. Visite histoire d'aller voir où cela nous mêne (trou non présent dans les inventaires). On plante 2 spits à l'entrée et en route pour l'aventure... petit conduit de 5m de long menant en haut d'un "puits", on rencontre 2 amarrages gravés "GCPM", donc pas de première pour nous. La cavité continue dans une faille qui se ressert de plus en plus pour finir par un conduit impénétrable 15 à 20m plus bas. Dominique reste en haut et je vais voir en bas. On s'aperçoit vite qu'il y a eu une grosse désob réalisée par le GCPM sur 10m environ. Au fond, cela se termine sur une étroiture sévère sans courrant d'air. Par contre, à 2m du fond, on rencontre un laminoir horizontal (1m de large pour 10cm de haut) assez profond où cela résonne très fort (puits paralléle?). Sécance photos et on remonte. Dom se renseigne auprès du GCPM afin de savoir pourquoi ils ont arrêté la désob.
En remontant, on fouille dans les différentes dolines présentes à coté de cette perte sans succés.
Ensuite direction un trou que Dom avait repéré en lisière de la route en sortant de Pugey du coté du grand carrefour (Pierrot doit se souvenir du terre-plein central!). On regarde, au bout d'un moment, on décide de jetter à terre un gros bloc en équilibre et hop l'entrée est ouverte. J'arrive a rentrer sur 1,50m mais il faudrait de plus gros moyens pour pouvoir voir si cela mêne quelque part. Le lieu n'est pas idéal... un peu trop près de la route pour être tranquille!! On se casse avant d'avoir des problèmes avec la maréchaussée!!!
On finira notre journée en visitant la Grotte de la belle-Mère" à Pugey. Visite sympa dans un trou très concrétionné.
Olivier
Malgré une météo pluvieuse nous nous retrouvons ce 8 mai après midi avec Christophe Rognon dans le but d’aller plonger le S2 du creux de Malefosse qui marque le terminus de cette cavité après un premier siphon de 55 mètres pour -5 mètres que j’ai rééquiper la semaine dernière et 270 mètres de galerie parfois pas boueuse alternant entre belles dimensions, escalades et laminoirs.
Nous sommes rapidement à pieds d’œuvre, ayant oublié la corde pour le cône d’entrée, on fera sans, mais à la descente cela va tout seul ! Dans la vasque du S1, derrière les étroitures d’entrée, nous nous équipons. Christophe est surpris par l’ampleur de la vasque autant que l’une de ces 4 litres qui est vide ! Erreur lors de gonflage il est quitte pour aller taper dans le stock de la voiture, on se dit que heureusement que l’on est pas à 10 heures de l’entrée.
Finalement nous nous émergeons, Christophe part devant afin de bénéficier au maximum des 50 cm de visi que nous offre les conditions du jour, pour ma part je fais le tracteur en portant les 4 litres prévus pour le S2. Derrière le S2, Christophe retrouve mon masque de secours perdu à la plongée précédente. Nous partons donc pour notre bain de boue mais en prenant le temps de l’observation.
Arrivée au S2 je m’engage dans ce siphon jugé trop étroit par mes prédécesseurs. Je décide de faire le « rampant de voute » : le but est de sortir ! Effectivement je franchis ce siphon et trouve, derrière, un beau lac qui me conduit jusqu’au S3. L’eau est trouble je m’engage dans le passage le plus évident pour finalement revenir et trouver le passage dans l’axe principal de la galerie par une zone un peu plus étroite. Ce siphon sort assez rapidement et je nage à nouveau dans un lac. Le S4 est tout proche, je m’y laisse couler, retrouve la boue, quelques amarrages ; après je perce la surface pour un nouveau lac moins profond où je dois franchir un petit seuil glaiseux. J’amarre mon fil et décide d’aller jusqu’au prochain obstacle soit très rapidement en bout de lac un beau S5. Mes blocs sont que peu entamé, je viens de faire 100 mètres mais la météo, la visibilité, m’encourage à mettre un terme à l’explo du jour. Je rentre tranquillement en levant la topo.
Je retrouve Christophe, nous remballons le matos et ressortons de la cavité. La pluie n’a pas cessé, nous sommes obligés d’abréger la phase bière car j’ai des doutes sur les possibilités de mon 4X4 de coiffeur pour sortir du bourbier ! Cela se confirmera, quelques poussées seront nécessaire pour retrouver la route et l’apéro.
Fred
PLONGEE DU 29 AVRIL 2012
Le timing était serré, un peu de pluie annoncée et le match Sochaux – Bordeaux, Clément était à cran fallait que je sois à l’heure ! Je décide donc une plongée dans l’unique but d’équiper le siphon (55m ; -4)
Vendredi, visite de l’estavelle du Cregenat en Suisse en liaison avec le Creux de Malefosse et petite visite à ce dernier pour savoir si le chemin a séché et que je peux descendre en voiture. Tout est ok !
Ce matin, j’installe donc une corde dans l’entonnoir d’entrée et descends avec tout le matos en configuration plongée. Deux petites étroitures, un passage à 4 pattes et me voilà dans la vasque du S1 alors que je vois encore le jour. Le niveau est relativement haut, les pluies de la semaine y sont pour quelque chose.
J’attache mon fil et me laisse couler dans cette eau trouble, 1 mètre de visibilité. Dans les premiers mètres une belle pente de galets, je vérifie la stabilité de cet ensemble et continue à descendre, la voûte est visible formant un rétrécissement, j’entrevois par endroit le vieux fil datant des années 70. Je décide de ne pas m’en préoccuper à l’aller et de le garder à distance respectable lorsqu’il est perceptible pour ne pas m’y emmêler. J’attache régulièrement et franchis ce siphon.
Finalement je décide de quitter les palmes pour jeter un coup d’œil. En 15 minutes j’atteins le terminus de mes prédécesseurs, un beau siphon vierge. Cependant, la parcours n’est pas de tout repos et va me donner du fil à retordre. Escalade glaiseuse, vire aérienne qui l’est autant mais permet d’éviter une zone étroite déjà chiante sans sac, laminoir boueux…
Je reviens au S1, je le sais cette fois bien équipé et décide d’attacher comme il faut l’ancien fil de gros diamètre. Ce fil n’était en fait attaché qu’aux extrémités.
Résultat donc : Le terminus est atteint, il est constitué par un siphon vierge.
Il me faudra je pense deux à trois plongées pour acheminer mon matériel jusqu’au S2 avant d’y entrevoir une plongée.
Fred
Sortie du 19 avril à Bartherans de 13h à 19h
Présents: Arnaud, Olivier
TPST: 6h
Visite à la perte histoire de retirer les gravats suite au dernier concert réalisé par la dernière équipe.
Arnaud s'occupe de retirer les gravats après la vire (1 gros bloc était resté en équilibre, mais qui a finit par aller faire tour dans le bas du puits). Pendant ce temps là, je remplace différents amarrages.
Les derniers puits sont dorénavant équipés.
On finit par une séance photo dans le méandre jusqu'à la grosse concrétion et le gours (link)
Olivier
Mouloud, Rom1, Pierrot, Louis (SCV)
TPST : 6h15
poursuite de l'équipement hors crue (on shunte maintenant la descente obligeant à remonter ensuite). Si Pierrot n'avait pas fini par casser le tamponnoir, on aurait pu finir... mais c'est bien avancé. Seul le premier ressaut est difficile à équiper hors crue ou alors faudrait se taper une vire genre celle du bastion... baston !
Aménagement du passage chiant d'accès à la "grande main courante". Coup Double !
Je propose une séance vendredi soir prochain : 13/04.
Je rajoute un embout de remplacement pour tamponnoir sur la liste du matos à acheter (on en prendrait pas quelques uns d'avance... ça doit coûter au moins dans les 3 euros...??)
Rom1
quelques photos d'Arnaud : link
Merci Nicolas pour les banderoles GSD et pour notre bannière.